C’est lors d’un enterrement de vie de garçon que j’ai pu expérimenter l’année dernière le VTT électrique.
Ma pratique du VTT
Je fais pas mal de VTT « standard » autour du Lac de Saint-Cassien dans le Var ou dans l’ouest des Alpes-Maritimes. J’ai une préférence pour le VTT de descente car mon cardio n’est pas encore au top pour encaisser 30 mn de montée pour 5mn de descente. Mais j’y travaille et je vais surement y consacrer plus de temps dans les prochains mois car la course à pied devient de plus en plus compliquée avec mes genoux qui me font souffrir. Je ne suis donc pas un pro du VTT mais plutôt un amateur qui sort de temps en temps entre potes pour prendre l’air. Même si l’activité conserve toujours un caractère sportif.
Mon VTT
Etant donné que je ne sors pas super souvent je n’ai pas encore investi dans un tout suspendu. J’avais pris un VTT d’entrée de gamme, semi-suspendu dans les 500€ chez notre magasin de sport généraliste préféré. Même si je lorgne vers des VTT plus sportifs que j’ai pues trouvé sur le site Bikester. Mais bon, je vais attendre la suite de mon opération pour franchir le cap.
Ma première randonnée en VTT électrique
La randonnée était organisée avec deux guides qui nous ont accompagnés durant toute l’après-midi. Première prise en main du VTT, je suis assez surpris par le poids qui n’est pas beaucoup plus élevé que mon VTT traditionnel. Le mode de fonctionnement est assez simple puisque vous appuyez juste sur un bouton + ou – pour changer de mode, eco / tour / sport et turbo. L’assistance s’active simplement dès que vous mettez un coup de pédale et elle se coupe dès que vous dépassez 25 km/h. Les différents modes permettent de choisir le niveau d’assistance souhaité en sachant bien entendu que plus vous êtes assisté et plus votre batterie va se décharger vite.
Sinon à part ça, je n’ai pas vu de différence avec mon VTT (même si je suis pas un expert 😉 )
Notre balade
Nous sommes donc partis dans le parc des Ecrins, depuis une petite ville proche d’Embrun. Les guides nous ont indiqué que nous allions monter en haut de la montagne, pour faire ensuite quasiment 1heure de descente. Personne n’était taillée comme un coureur du tour de France mais nous faisons confiance aux guides. Il est vrai que l’assistance semble bien aider dans les montées. Concernant celle-ci, nous étions tous sur « tour » pour économiser tout de même un peu de batterie. Durant les premières montées sur les DFCI, j’ai vraiment pu apprécier le mélange de sportivité (puisqu’il faut tout de même pédaler) et l’assistance qui permet de ne pas caler ou de s’époumoner trop rapidement.
Durant les phases de montée, les guides nous ont même fait une surprise en nous indiquant que nous allions emprunter un chemin impossible. La consigne était claire, il faut mettre la tête par-dessus le guidon le plus loin possible, mettre le poids de son corps le plus en avant et pédaler le plus rapidement en ayant mis le mode boost ! Et là par miracle nous avons pu franchir un mur qui semblait totalement impossible à monter. L’assistance cela a du bon, puisqu’elle nous donne également une meilleure motricité. Arrivé en haut nous avons pu profiter d’une bonne heure de descente à toute vitesse ! Que du bonheur !
Retour au camp de base fatigué mais heureux !
Même si je ne sais pas encore si je vais franchir le cap, l’idée de me prendre un VTT électrique me trotte dans la tête.
Préparer sa randonnée
Pour bien préparer sa randonnée à vélo électrique je vous conseille bien entendu de bien charger la batterie la veille et de repérer votre itinéraire mais cela fera l’objet d’un prochain article !